Cette évolution nous a permis de faire des moyennes énormes.
« Qu’est-ce qui a pu faire la différence pour vous ?
F. C. : On a eu un gros progrès sur le pilote automatique. En début d’année on se demandait comment on allait aller vite sous pilote automatique.
C. C. : On avait prévu de barrer des heures et des heures et finalement on n’a quasiment jamais barré.
F. C. : Cette évolution nous a permis de faire des moyennes énormes. En début d’année, même un barreur n’arrivait pas à aller aussi vite que ce que faisait le pilote la nuit. C’était la bonne surprise des trois premiers jours (sourire). On a rajouté des boutons avant de partir, c’était une belle réussite et je pense qu’on a gagné la course un peu là-dessus (rires). »